Pensées

L’Univers des émotions

La vie est un art qu’il faut savoir vivre et une toile qu’il faut savoir peindre.

Chaque jour la toile se peint, de nouvelles couleurs y sont chaque jour selon notre humeur.
Et le jour où la toile est remplie, c’est le dernier jour d’une vie.

Dans la vie, tout reste à faire, mais il faut savoir bien le faire pour que la vie devienne un art d’être vécu et pour que la toile devienne un art à regarder sans jamais se lasser.
« Souma chérif ».

C’est avec l’ouverture de l’esprit que le cœur s’ouvre à l’autre

Le sens profond de chaque rencontre réside dans le fait de pouvoir grandir et apprendre toujours plus sur soi et les autres.

L’ Amour est un mot rempli d’ Energie exceptionnelle, vous avez tous les graines de l’amour.

L’ Amour véritable est compassion, et la compassion est faite de compréhension, des besoins, du vécu, de la sensibilité, de la souffrance de l’autre avec tolérance et patience.

La compassion est l’essence même de la vie et de l’ouverture du cœur.

La compassion dans nos cœurs, nos pensées, nos paroles, nos actions peut être miraculeuses.

C’est avec compassion que vous arrivez à grandir vers le bonheur.

La véritable compassion consiste à souhaiter à l’autre autant de bonheur que nous avons.

La compréhension est le complice de l’amour.

Le véritable amour vous permet de vivre en toute liberté tout en respectant celle de votre bien aimé(e) : c’est la sagesse.

Sans sagesse, l’amour pourrait devenir possessif.

Acceptation est le premier pas vers la guérison et le pardon.

La compassion et un réel souci des autres.

Savoir
Ecouter
Garder le silence
Toucher tendrement
Avoir un regard empreint de bonté pour soulager la douleur des autres
Avoir une profonde communication et communion avec autrui
Réconfort dans l’amour

Les leçons de vie

Un corps t’a été donné.
Tu peux l’aimer ou la détester, mais ce sera le tien pour toute la durée de cette vie.

Tu vas apprendre des leçons.
Tu es inscrit(e) dans une école informelle à plein temps appelée « Vie ».
Chaque jour, tu auras l’occasion d’apprendre des leçons dans cette école.
Tu pourras aimer les leçons ou penser qu’elles sont idiotes ou sans pertinence.

Il n’y a pas de fautes, seulement des leçons.
La croissance est un processus d’essais et erreurs : c’est l’expérimentation.
Les expériences « ratées » font tout autant part du processus que celles qui « réussissent ».

Une leçon sera répétée jusqu’à ce qu’elle soit apprise.
Une leçon te sera présentée sous diverses formes, jusqu’à ce que tu l’apprennes.

Quand tu l’auras apprise, tu pourras passer à la leçon suivante.

Apprendre des leçons ne finit jamais.
Il n’y a pas de partie de « Vie » qui ne contiennent de leçons.
Si tu es en vie, il y a des leçons à apprendre.

« Ailleurs », n’est pas meilleur qu’«Ici ».
Quand ton « Ailleurs » est devenu « Ici », tu obtiens à nouveau un autre « Ailleurs » qui à son tour te semblera meilleur qu’«Ici ».

Les autres sont essentiellement des miroirs de toi-même.
Tu ne peux aimer ou détester quelque chose chez autrui que si ce quelque chose reflète une chose que tu aimes ou que tu détestes en toi.

Ce que tu fais de ta « Vie » dépend de toi.
Tu as tous les outils, toutes les ressources dont tu as besoin.
Ce que tu en fais dépend de toi.
Le choix t’appartient.

Tes réponses sont en toi.
Les réponses aux questions de la « Vie » sont en toi.
Tout ce qu’il te faut, c’est regarder, écouter et faire confiance.

A mesure que tu t’ouvres à cette confiance, tu te souviendras de plus en plus de tout ceci.

Semence pour une vie simple

C’est l’amour universel qui fait naître à la vie.

La confiance en soi et des autres, c’est aussi

être à l’écoute de soi et des autres.

Ce n’est pas vouloir que quelqu’un soit comme ceci ou comme cela, c’est apprendre à découvrir ses qualités qui lui sont spécifiques.

Etre attentif à quelqu’un qui souffre, ce n’est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c’est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s’en libérer, c’est accueillir l’autre avec reconnaissance tel qu’il se définit lui-même sans se substituer à lui pour lui dire ce qu’il doit être.

C’est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l’autre le temps et l’espace de trouver la voie qui est la sienne.

Alors nous sommes dans le respect de chacun et chacune.

Le respect de soi et des autres, c’est être indifférent à l’indifférence de l’âge, de milieux de cultures, des idéaux, etc.

Alors naîtra

l’humilité, qui est tout simplement l’amour de soi et des autres.
Un sentiment modéré qui amène une harmonie dans nos sentiments.

La vie existe que si l’amour est là.
La vie est simple !

Expérience

Une chose est sûre :
la vie vous procure exactement l’expérience dont vous avez le plus besoin pour que votre conscience évolue.

Comment savoir si c’est l’expérience dont vous avez besoin ?
Parce que c’est l’expérience qui vous arrive en ce moment.

(Eckhart Tolle)

Ame

Vous êtes dans un chemin que vous avez choisi ou plutôt que votre âme à choisi.

Vous êtes dessus et il vous faut accepter ce qui vous arrive comme des créations de votre âme pour vous faire grandir et évoluer.

Votre âme est le maître d’œuvre  de votre vie et ce qu’elle vous fera vivre est pour votre meilleure évolution.

Ne refusez ni les cadeaux,  ni les épreuves et encore moins qui vous êtes.

Cet été est un point de départ pour certains d’une vrai grande aventure terrestre dans des énergies fortes et agréables.

Soyez attentif aux signes qui sont autour de vous et vous parlent de ce qui est juste pour vous.

Ecoutez les sages parler de votre sagesse.

Ne luttez plus, laissez-vous guider par le chant de votre âme.

Oubliez l’ancien et laissez-vous coulez dans l’amour divin.

Larmes

Versez des larmes de guérisons et lâchez vos peurs et vos croyances.

Soyez dans l’accueil de vos larmes pour y mettre tout cet amour divin.

Les larmes versées sont des gouttes de bonheur qui viennent guérir vos cœurs meurtris.

Ce sont des larmes de soulagement.

Ce sont des parties de vous qui sont aimés au-delà de ce que vous pensez.

Nous entendons vos prières.

Nous sommes autour de vous pour vous soutenir dans vos épreuves d’âmes.

Vos âmes vous font grandir.

Vos âmes vous font avancer sur un chemin de foi.

Sondez vos âmes.

Soyez en paix avec ce que vous vivez et vous êtes.

Vous êtes bien plus grand que ce que vous voyez.

Ouvrez vos yeux.

Amour

Buvez jusqu’à plus soif l’amour qui descend vers vous pour ouvrir les portes de vos vies d’amour.

Buvez l’amour pour retrouver cet amour en vous.

Buvez l’amour pour aller vers les êtres d’amour.

Buvez l’amour pour être dans l’amour de vous-même.

Buvez l’amour de qui vous êtes.

Buvez l’amour et soyez cet amour pour vous et votre entourage.

L’amour est fort.

L’amour est pur.

L’amour est.

Le lâcher prise (détachement)

C’est  plutôt de voir les choses autrement, s’ouvrir à de nouvelles choses  auxquelles  vous n’avez pas encore songé par vous-même.

Faire de la place aux nouvelles possibilités qui se présentent à nous.

Lâcher le contrôle, faire confiance à la vie  et s’ouvrir pour recevoir les innombrables bienfaits qui pleuvent sous notre tête.

Si vous pensez que le lâcher prise, c’est laisser tomber, renoncer, capituler, jeter l’éponge perdre la face ou abandonner la partie, alors il est normal que vous ne pouvez le faire.

(Diane Leblanc)

La source

LA SOURCE  nous a offert le plus beau des cadeaux, celui du libre-arbitre de se fondre en conscience dans « notre Ombre ou dans notre Lumière », toutes deux nécessaires à la prise de conscience et la responsabilité que chacun a quand il s’incarne sur notre planète Terre, avec comme but de vie de vivre pleinement sa mission, différente pour chacun.

LA SOURCE est au-delà de toute religion. Les religions sont nombreuses, inventées ou mal interprétées par les hommes qui ont hélas bafoué LE message originel. C’est pour cela que beaucoup d’hommes se battent aujourd’hui.
Les religions se battent, les religions tuent pour « LEUR VERITE ».
LA SOURCE observe et attend le basculement de chacune de ses brebis, égarées ou non vers les retrouvailles avec ELLE.
Il semblerait que le basculement puisse commencer dans les années à venir.

Pour moi, LA SOURCE observe. On peut l’appeler Dieu, Jésus, Alla, Bouddha, etc. ou pourquoi pas, le Coeur de chaque être dans sa beauté originelle (je dis bien de chaque être) et, pour moi, cela n’a rien à voir avec les religions inventées et bafouées par l’homme avide de pouvoir et ce, de plus en plus aujourd’hui.

Aujourd’hui, toujours pour moi, LA SOURCE de tout ce qui « est » attend que chacun regarde en lui et lui offre ou transmute (comme dans la philosophie du Dr Bach) ses blessures, ses travers, ses égarements tout autant que ses joies, son amour ce que l’homme appelle, bref ELLE lui offre toutes ses qualités et surtout ses défauts.
On ne peut imposer une religion à quiconque, quelle qu’elle soit dans le quotidien, dans les écoles ou n’importe où.
On peut toutefois en vivre les principes au quotidien si nous ne nous y soumettons pas et si nous avons le courage de regarder et balayer devant notre propre porte, car tous nous avons à grandir dans cette vie ou dans d’autres.

Ce que l’homme appelle « les méchants » et qui se sont incarnés en « Ombre » sont des guides qui nous permettent d’ouvrir grandement notre Lumière. Il ne faut certes pas les laisser libre de continuer, mais de réfléchir au pourquoi ils sont là et de chercher en soi quelle(s) blessure(s) reste(nt) encore à évacuer.

Les religions dans les écoles, non car c’est un non-respect du vouloir de chacun.
L’apprentissage dans les écoles du respect de soi-même et de l’acceptation des autres, de la politesse, du non jugement et de l’amour du prochain.

Le RESPECT des pensées et des actes dans tout ce qui se passe : OUI !
L’apprentissage de la LIBERTE, du LIBRE-ARBITRE et la RESPONSABILITE de nos choix et du RESPECT ABSOLU  des autres dans ce qu’ils pensent : OUI !

(Nadia Elawenko)

Histoire de l’ange de l’oubli

Lorsque vous étiez encore une  âme, devant le conseil des sages quelque part dans l’univers, nous avons écrit notre propre histoire, celle que nous voulions vivre.

Exemple : vivre dans le désamour des parents afin de retrouver notre essence de l’Amour divin.

Puis nous avons attendu…

Pendant ce temps, sur terre un jour un homme et une femme se rencontrent, ils s’aiment  profondément, font l’amour et la conception  se réalise.

Nous décidons alors de nous incarner.

La grossesse se déroule bien jusqu’au jour de l’accouchement,  l’enfant  pousse dans le passage, mais cela lui fait mal, alors arrive à côté de lui, « l’ange de l’oubli » qui l’aide à arriver sur terre. La seule chose, c’est qu’il met son  doigt sur la bouche de l’enfant et lui dit « Chuuut ». Et l’enfant vient au monde sans encombre.

A la naissance, il a tout oublié, de l’histoire qu’il a lui-même écrite.

Voilà  pourquoi nous avons le petit creux au-dessus de notre bouche et toute notre vie, nous allons chercher ce qui, un jour, nous avons écrit nous-mêmes devant les sages, quelque part dans l’univers…

Il est difficile de pardonner

Pardonner ne veut pas dire OUBLIER, c’est ACCEPTER qu’un être humain ait pu faire des choses horribles envers nous-mêmes ou d’autres.

Pardonner, c’est avoir l’esprit suffisamment large pour reconnaître que cet être humain a manqué d’AMOUR envers lui-même et certainement des autres.

Pardonner, c’est comprendre qu’il ne sait sans doute pas ce qu’est l’AMOUR et qu’il ne connaît peut être que la violence et la dureté.

La difficulté de pardonner vient souvent du fait que cet être humain est parfois de notre propre famille, nous le connaissons bien, il nous a fait du mal alors que nous étions en état d’AMOUR envers lui.

Pardonner, c’est accepter de voir cet être humain, qui peut être de notre sang, n’est pas en état d’AMOUR.

Pardonner est le plus grand acte d’AMOUR qu’un humain puisse faire à l’autre ou à lui-même.

Accepter de continuer à aimer l’autre même si celui–ci n’a pas ou peu d’AMOUR en lui. Cela n’exige pas pour autant de maintenir une situation qui nous fait du mal.

Pardonner à celui qui nous a blessés et à qui nous n’avons rien fait, c’est comprendre et accepter que nous sommes tous unis, reliés les uns les autres. C’est abandonner toute logique de la relation individuelle et oeuvrer pour l’univers de toutes ses forces.

Pardonner, c’est reconnaître que l’autre nous a blessés dans un total manque de conscience et que s’il avait eu les yeux grands ouverts sur la beauté de la VIE, il n’aurait jamais pu faire un tel geste.

Pardonner, c’est d’accepter d’avoir joué, jusqu’alors consciemment ou pas, un rôle dans la vie de l’autre qui va l’amener peut-être  à prendre conscience de l’impact de sa maladresse et du non-respect qu’il a eu vis-à-vis de lui-même, de nous-mêmes et de la vie elle- même.

Pardonner, c’est avoir le COEUR tellement grand qu’à la place de ruminer notre peine et notre souffrance, on devient capable de comprendre l’enfermement, la bêtise et le mal être de l’autre.

Pardonner, c’est accéder à la compréhension que l’autre vit dans un état qui l’empêche de se rendre compte de la souffrance qu’il a infligé aux autres.

Pardonner, c’est accepter de laisser l’autre grandir à son rythme et comprendre sa responsabilité d’être humain, son droit au bonheur, son droit à vouloir protéger le bonheur de ceux qui l’entourent selon sa compréhension, sa logique et sa connaissance du monde.

Pardonner, c’est accepter l’ignorance et le manque de sagesse sans jugement.

Pardonner, c’est accepter de sacrifier sa peine et envoyer des intentions d’AMOUR pour que l’autre, un jour, prenne conscience de son inconscience.

Pardonner, c’est choisir de vivre heureux malgré les souffrances infligées par les autres.

Ainsi nous arrivons mieux à pardonner quand on décide de ne plus accepter la souffrance sans la conscience.

(Marie-Lore)

Parabole : Chemin de vie

(Provient d’une légende orientale pour raconter notre « Chemin de VIE »)

Nous avançons sur ce Chemin qui représente notre Vie, en utilisant un Véhicule particulier qui est notre corps physique symbolisé par un Carrosse.
Celui-ci possède deux roues avant (les bras) et deux arrières (les jambes), tiré par deux Chevaux, qui eux, constituent nos émotions : un Cheval blanc (Yang) avec ses représentations paternelles et un noir (Yin) emblème de notre lignée maternelle.
Il est à noter que notre Véhicule (corps) avance grâce aux Chevaux (émotions), ce qui nous montre à quel point nos émotions nous mènent, nous font avancer dans la vie…
Bien sûr, cet Attelage est dirigé par un Cocher (mental) qui tient les rênes : c’est bien le Conscient qui prend une Direction.
Mais si cet assemblage paraît se suffire à lui seul, nous pouvons aisément penser que le Carrosse n’est pas vide. 
Il peut transporter un Passager (Guide intérieur, âme,… selon votre propre croyance) venu dans le but de faire un Voyage et désirant une certaine Destination (But).
La difficulté pourrait être que le Cocher ne veuille pas admettre ou écouter son Intériorité et n’en fasse qu’à sa tête…

Le Chemin est une route de terre avec des nids de poule, des bosses ou cailloux qui représentent toutes nos difficultés.
On peut se laisser entraîner dans les ornières présentes sur la route qui sont des schémas déjà existants, appartenant à d’autres que nous reproduisons quelquefois.
Les fossés, plus ou moins profonds, symbolisent les règles à ne pas franchir : ils nous balisent de chaque côté et sont les limites à respecter sous peine d’accident.
Bien sûr, cette Route est sinueuse et les virages imagent le fait que nous ne pouvons pas toujours voir devant nous.
Nous avons à subir des intempéries selon la météo et les lieux que nous traversons.
Si la pluie alterne avec le beau temps, nous ne pouvons éviter le brouillard, les orages ou les tempêtes qui empêchent toute visibilité.
Ces phases freinent notre avancée et rendent la Conduite difficile pour notre Cocher (mental).
Selon son attention et sa vigilance d’action vont dépendre la qualité et le confort du Voyage (Existence).

De même, le Conducteur peut être trop autoritaire et maltraiter ses Chevaux (émotions), de même, il peut l’être trop peu et les laisser mener la Voiture.
Des Chevaux brutalisés peuvent conduire à l’accident tout comme nos émotions nous mènent parfois au danger.
Des Chevaux jamais guidés risquent de laisser aller le Carrosse dans les ornières présentes et ainsi reproduire le passé des autres (schémas parentaux) avec les mêmes erreurs pour conséquence (se retrouver dans le fossé par exemple si cela est arrivé aux Voyageurs nous précédant).

En revanche, si ce Chauffeur est humble et conscient de son rôle, il tiendra les rênes avec fermeté et douceur pour le confort des Chevaux et ménagera le Carrosse en tenant compte de ses limites.
Mais surtout, il prendra soin d’interroger son Passager (Guide Intérieur) afin de suivre la bonne Direction sans perte de temps ni risque de se perdre.

En effet, ce Voyageur sait où il veut aller et ne manquera pas de le faire savoir à son Conducteur.
Encore faut-il que ce dernier veuille bien accepter le fait qu’il n’est pas seul maître à bord, qu’il tende l’oreille et qu’il suive les directives du VRAI Décideur.
Sur un Chemin de terre, la poussière, le bruit, l’environnement ne sont pas facilitant pour l’écoute.
Il n’est pas toujours aisé pour un Cocher de prêter attention à cette petite Voix qui se manifeste pourtant très souvent.
Pour communiquer, un arrêt peut-être indispensable.
Ces pauses peuvent être volontaires ou forcées (maladie, accident, chômage, retraite…) et sont propices aux retrouvailles car nous nous perdons quelquefois…

Pour nous aider à l’accomplir, pour cheminer paisiblement ou pour nous permettre de revenir sur notre route, les Fleurs de BACH nous apportent le positif indispensable chaque fois que nous sommes bloqués par 
des PEURS, des INCERTITUDES, des MANQUES D’INTERET, des sentiments de SOLITUDE, des HYPERSENSIBILTE aux INFLUENCES, des DESESPOIRS 
et des SOUCIS EXCESSIFS du BIEN D’AUTRUI.

Autant de domaines qui nous éloignent ou nous empêchent d’être ce que nous sommes en notre cœur et de nous révéler à nous même en nous accomplissant.

Grâce aux fleurs, nous équilibrons et stabilisons les Chevaux.
Car s’ils sont boiteux, blessés ou mal nourris, ils tirent le Carrosse avec peine ou selon leur propre confort sans tenir compte de ce qu’il se passe à l’arrière.

Plus le Cocher leur accordera d’attention en les observant pour apprendre à reconnaître leurs réactions, (en les aimant, les bichonnant tout en les maitrisant) plus il pourra lâcher la bride.
S’il peut leur faire confiance, ce sera la détente assurée et le plaisir à la vue des paysages qu’il traverse tout en s’intéressant à Celui qu’il transporte.

Les élixirs floraux, en apaisant les Chevaux (toujours les Emotions) permettent au Cocher (le Mental) de se connecter à ce Passager (Intériorité, Guide, Ame,…) et de prendre enfin le temps de S’écouter, de S’accorder l’attention qu’il mérite afin que le Voyage se poursuive dans les meilleures conditions.

Que ce Voyage qui est le nôtre soit bien géré afin qu’il se passe dans la joie, la paix, la douceur, l’enthousiasme et le respect : dans l’harmonie et l’équilibre.

Notre Voyage est un acte d’AMOUR, puissions-nous le laisser se révéler dans son essence.

Ce que je veux savoir…

Je ne m’intéresse pas à la façon dont tu gagnes ta vie,
Je veux savoir à quoi tu aspires,
Et si tu oses rêver de réaliser le désir ardent de ton coeur.

Je ne m’intéresse pas à ton âge.
Je veux savoir, si pour la quête de l’amour et de tes rêves,
Pour l’aventure de te sentir vivre,
Tu prendras le risque d’être considéré comme fou.

Je ne m’intéresse pas aux astres qui croisent ta lune.
Je veux savoir si tu as touché le centre de ta propre souffrance,
Si les trahisons vécues t’ont ouvert,
Ou si tu t’es fané et renfermé par craintes de blessures ultérieures.

Je veux savoir si tu peux vivre avec la douleur, la tienne ou la mienne,
Sans t’agiter pour la cacher, l’amoindrir ou la fixer.

Je veux savoir si tu peux vivre avec la joie, la tienne ou la mienne,
Si tu oses danser, envahi par l’extase jusqu’au bout des doigts et des orteils
Sans être prudent ou réaliste et sans te souvenir des conventions du genre humain.

Je ne m’intéresse pas à la véracité de l’histoire que tu racontes.
Je veux savoir si tu es capable de décevoir quelqu’un pour rester fidèle à toi-même,
Si tu supportes l’accusation d’une trahison, sans pour autant devenir infidèle à ton âme.
Je veux savoir si tu sais faire confiance, et si tu es digne de confiance.
Je veux savoir si tu peux voir la beauté, même lors des jours sombres
Et si tu peux trouver la source de ta vie dans la présence de cette beauté.

Je veux savoir si tu peux vivre avec l’échec, le tien ou le mien,
Et malgré cela rester debout au bord du lac
Et crier: « Oui ! » au disque argenté de la lune.

Je ne m’intéresse pas à l’endroit où tu vis ni à la quantité d’argent que tu as.
Je veux savoir si après une nuit de chagrin et de désespoir,
Tu peux te lever et faire ce qui est nécessaire pour les enfants.

Je ne m’intéresse pas à ce que tu es, ni comment tu es arrivé ici.
Je veux savoir si tu peux rester au centre du feu avec moi, sans reculer.
Je ne m’intéresse pas à ce que tu as étudié, ni où, ni avec qui.
Je veux savoir ce qui te soutient à l’intérieur, lorsque tout le reste s’écroule.
Je veux savoir si tu peux être seul avec toi-même,
Et si tu aimes véritablement la compagnie de tes moments vides.

(Oriah Mountain Dreamer, un Sage Indien)

Être ou paraître ?

Cela ne m’intéresse pas de savoir quel est ton métier, ce que je veux savoir, c’est ce qui te tient à cœur et si tu oses rêver d’accomplir tes désirs, si tu es prêt à paraître fou, par amour ou pour tes rêves, pour l’aventure d’être vivant
.

Je veux savoir si tu as touché le cœur de la tristesse, si tu es ouvert suite aux épreuves de la vie ou si tu t’es desséché et fermé par peur de la douleur.

Je veux savoir si tu peux expérimenter ta douleur ou la mienne sans chercher à la cacher, à la diminuer ou à la solutionner.

Je veux savoir si tu peux entrer dans la joie, la mienne ou la tienne, si tu peux danser sauvagement et laisser l’extase te remplir jusqu’au bout des doigts sans apposer des limites humaines et sans penser être prudent ou réaliste.

Cela ne m’intéresse pas de savoir si l’histoire que tu me racontes est vraie, ce que je veux savoir, c’est si tu peux décevoir quelqu’un d’autre afin de rester vrai envers toi-même, si tu peux supporter l’accusation d’être un traître et ne pas trahir ta propre âme.

Je veux savoir si tu as suffisamment de foi pour être digne de confiance, je veux savoir si tu sais voir la beauté même si ce n’est pas beau tous les jours.

(Texte amérindien)

Le jour où je me suis aimé pour de vrai !

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai compris qu’en toutes circonstances
J’étais à la bonne place, au bon moment
Et alors j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle…

l’Estime de soi. 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
N’étaient rien d’autre qu’un signal
Lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle…

l’Authenticité. 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de vouloir une vie différente
Et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
Contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle…

la Maturité. 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai commencé à percevoir l’abus
Dans le fait de forcer une situation ou une personne
Dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
Sachant très bien que ni la personne ni moi-même
Ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle…

le Respect. 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,
Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle

l’Amour propre.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans.
J’ai abandonné les méga projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime,
Quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle…

la Simplicité. 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de rechercher à avoir toujours raison,
Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert…

L’Humilité. 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s’appelle…

la Plénitude. 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur,
Elle devient une alliée très précieuse.

(Charlie Chaplin) 

Un vieil homme Cherokee apprend la vie à son petit fils.

Un combat a lieu à l’intérieur de moi, dit-il au garçon.
Un combat terrible entre deux loups.
L’un est mauvais : il est colère, envie, chagrin, regret, avidité, arrogance, apitoiement sur soi-même, culpabilité, ressentiment, infériorité, mensonges, vanité, supériorité et ego.
L’autre est bon : il est joie, paix, amour, espoir, sérénité, humilité, bonté, bienveillance, empathie, générosité, vérité, compassion et foi.

Le même combat a lieu en toi-même et à l’intérieur de tout le monde.
Le petit-fils réfléchit pendant une minute puis demanda à son grand père :
– Quel sera le loup qui vaincra ?

Le vieux Cherokee répondit simplement :
– Celui que tu nourris.

La loi de la vie

Ce que l’on réprime, s’imprime
Ce à quoi l’on résiste, persiste
Ce qui nous affecte, nous infecte
Ce que l’on fuit, nous poursuit

En revanche, heureusement,
Ce à quoi on fait face, s’efface
Ce que l’on visualise, se matérialise
Et ce que l’on bénit, nous ravit.

(Diane Leblanc)

Deviens un artisan de ton âme

Fais de ta vie une œuvre d’art.
Que chaque instant de ce présent si précieux,
Soit habillé de tes plus belles pensées,
De tes actes les plus nobles.

Fais de ta vie un hymne à la joie,
Pénètres au plus profond de la matière,
Et fécondes l’obscurité de pensées lumineuses,
De fleurs de pensées afin d’ensemencer monde intérieur et extérieur.

Sème les graines de ta destinée,
D’une main heureuse,
D’une main amoureuse,
D’une main confiante, humble et généreuse.

Qu’au travers de tes expériences terrestres,
Puisses-tu faire vibrer ton âme,
Telle une harpe céleste,
Afin qu’elle prenne corps et s’exprime au sein même de la terre.

Fais de ta vie une œuvre d’art,
Et communique ton œuvre dans la matière,
Matérialise les Idées célestes,
Idéalise la matière terrestre.

Que chacun de tes gestes,
Que chacune de tes actions, de tes pensées,
Portent en elles le sceau de ton âme,
Et fleurisse dans l’Amour de l’éternel présent.

Fais de tes rêves de lumière une réalité sans frontière,
Sans préjugé, ni attache.
Détaches-toi du futile trop servile
Et croit sans hésiter, lentement et sûrement,
Dans l’Inconditionnel Amour du temps, ton plus beau présent.

Dépasse-toi !

Plus tu vises haut, plus haut tu parviendras.

Pousse-toi un peu au-delà de ce que tu te sais capable de faire
et tu te découvriras de nouveaux talents et de nouvelles aptitudes.

S’il semble que tu ne parviennes pas à faire grand’chose,
c’est peut-être parce que tu ne te donnes pas assez à faire.

Agrandis suffisamment tes rêves et tes ambitions pour qu’ils soient vraiment motivants.

Sois sincèrement reconnaissant d’être déjà parvenu là où tu es,
mais ne te repose pas sur ce que tu as déjà réalisé.

Apprécie ces réalisations en les utilisant comme point de départ vers des succès encore plus importants.

Tu es intelligent, adaptable, créatif, souple et efficace dans ce que tu fais.

Accomplis ton destin et remplis ton but en te donnant à faire quantité de choses utiles et dignes d’intérêt.

Savoure le fait de découvrir tout ce que tu es capable d’accomplir de plus.

Le défi d’avancer avec succès sur des territoires nouveaux et inconnus, réjouis-t-en.

Continue de te dépasser.

Connais la joie et la confiance qui naissent d’une croissance toujours plus grande.

(Ralph S. Marston Jr.)

Les 4 accords toltèques

Que ta parole soit impeccable.

Ne réagis à rien de façon personnelle.

Ne fais aucune supposition.

Fais toujours de ton mieux.

(Voir l’article complet de Don Miguel Ruiz)